La Covid-19 est une maladie infectieuse due à un coronavirus découvert récemment. Le virus qui entraîne la Covid-19 se propage majoritairement par des gouttelettes produites quand une personne infectée tousse, éternue ou expire. Si vous êtes à proximité d’une personne atteinte de ce virus, vous risquez donc d’être infecté en respirant le virus ou en touchant une surface contaminée puis vos yeux, nez et/ou bouche.
Les symptômes les plus fréquents sont la fièvre, la toux sèche et la fatigue mais d’autres symptômes affectent également les personnes malades tels que les maux de gorge, diarrhée, conjonctivite, perte de l’odorat etc.
Le plan de relance de 100 milliards d’euros sur deux ans propose de nombreuses mesures en faveur des entreprises et de l’accélération de la transition écologique. Parmis cette cagnotte, 7,5 milliards sont consacrés à la rénovation énergétique des bâtiments et la relance de la construction durable.
Malheureusement pour les acteurs du BTP, le secteur se trouvait déjà en difficulté en outre-mer avant la crise de la Covid-19. À la Réunion, le CA du BTP pour l’année 2019 avait déjà chuté de 24% par rapport à 2019. C’est donc 440 entreprises qui ont fermé laissant 1200 salariés au chômage. Quant à la Martinique, environ 1500 emplois dans le secteur du bâtiment et travaux publics ont disparus entre 2016 et 2020.
Quelle que soit la taille de l'opération, le client doit approuver la liste de conditions sanitaires établie par le maître d’ouvrage avant le début des travaux.
Cette liste permettra de s’assurer que les différents acteurs pourront mettre en oeuvre et respecter dans la durée les mesures définies au préalable.
Dans cette liste de conditions, on pourra retrouver la limitation de la coactivité ou préciser les mesure de cette coactivité dans le cas où elle ne serait pas évitable, l’instauration de visioconférences pour les opérations de 1ère catégorie etc.
Il est évident que le client devra avoir accepté les conditions générales d’intervention c’est à dire : capacité à respecter les gestes barrières, distance minimale de 1m avec toute personne, accès à un point d’eau pour le lavage des mains et aux installations d’hygiène.
Les entreprises ayant des collaborateurs en grand déplacement devront s’assurer que chaque hébergement a de la disponibilité en chambre individuelle et la possibilité de restauration.
Concernant les apprentis, il est très important que les apprentis, stagiaires et alternants puissent retrouver des conditions de formation normales et accéder de nouveau aux chantiers et ateliers qui n’étaient pas recommandés depuis le confinement.
Étant donné la situation critique actuelle, il est indispensable de respecter strictement les gestes barrières :
Les masques contribuent à éviter que les personnes qui portent le virus le transmette à d’autres personnes. Seul, le port du masque ne protège pas contre la COVID-19 il doit obligatoirement être associé à des mesures de distanciation physique et d’hygiène des mains.
Le port d’un masque de type grand public ou de protection supérieure est obligatoire au sein des entreprises dans les lieux collectifs clos.
Il existe tout de même certaines adaptations qui peuvent être mises en place en fonction de certains critères:
Dans un période si délicate de deuxième confinement, il est primordiale de veiller au bien être et au bon vivre de ses salariés. Faire en sorte que le virus ne se propage pas eu sein de l’entreprise et des prestataires doit être la règle d’or.
Pour arriver à cela, il est du devoir des responsables de contrôler l’accès des salariés et autres intervenants en entreprise sur le chantier et refuser l’accès à toute personne présentant des symptômes de maladie en particulier la toux, les difficultés respiratoires, fièvre, perte d’odorat/goût.
Il s’agit également de questionner les salariés mais attention, vous ne pouvez pas enregistrer les données médicales.
Les salariés à risques ou partageant le domicile des personnes à risques doivent être sujets à de mesures particulières proposées par l’employeur telles que le télétravail par exemple.